Vous êtes-vous déjà dit que vous étiez totalement perdu sans cigarette?

Qu’elle était indispensable pour que vous profitiez des moments importants de votre vie?

 

Vous êtes-vous déjà dit que fumer faisait tellement partie de votre façon de vivre, que vous étiez incapable d’arrêter?

Avez-vous fini par croire que vous étiez tellement habitué à fumer que vous n’aviez aucun pouvoir de décision, ni de contrôle, sur votre consommation?

 

Quand on fume, ces certitudes deviennent de plus en plus ancrées.

Elles deviennent de plus en plus évidentes… Puis elles sont considérées comme des vérités.

C’est pour ça que, même si vous avez décidé d’arrêter, vous continuez à prendre une cigarette au café, à la pause, ou en voiture pendant votre trajet.

Vous aimeriez changer, mais vous avez la même attitude. C’est pour cette raison que le résultat est le même.

Or pour changer, et pour changer vraiment, il faut pouvoir penser et agir au-delà des circonstances de notre vie. Car changer, c’est agir plus grand que notre environnement ou que les conditions de notre monde.

 

Pour comprendre ce phénomène faisons un petit tour vers les neurosciences.

Les neurosciences nous disent que notre cerveau est le reflet de notre environnement.

C’est-à-dire que notre cerveau est organisé de façon à pouvoir refléter notre environnement personnel.

Plus précisément, le cerveau nous propose la vision de notre propre vie.

 

Concrètement, ça signifie que les gens, les lieux, les circonstances et tous les événements que nous avons rencontrés ou vécus, se sont organisés en structures neurologiques dans notre cerveau.

Cette organisation nous permet 2 choses:

  1. nous familiariser avec notre milieu et notre monde,
  2. nous habituer à percevoir la réalité et à fonctionner de façon que l’on peut prévoir.

En d’autres termes: si mes pensées sont la source de mon environnement, alors elles sont à l’origine des circuits neuronaux qui se créent dans mon cerveau et qui définissent mes actes et mes comportements.. et qui eux-mêmes confortent mes pensées.

Concrètement, ça signifie que si je veux changer, il faut que je change mes pensées, qui changeront mes actes, qui à leur tour conforteront mes pensées.

 

Changer n’est donc rien d’autre que d’agir et penser différemment en présence des mêmes circonstances.

 

C’est pour cette raison que lorsqu’on décide d’arrêter de fumer, il est impératif de changer nos habitudes.

Changer ses habitude ne consiste ni à prendre un verre d’eau, ni à respirer 4 fois avant de se demander si on a vraiment envie de se jeter sur le gâteau pour nous couper l’envie de fumer.

Quand on décide d’arrêter de fumer, il est est nécessaire d’agir différemment.

 

Et agir différemment implique de penser différemment.

Si vous n’agissez ni ne pensez différemment, vous rechuterez, ou lutterez pour ne pas le faire.

La est bien là tout l’enjeu de l’arrêt du tabac. Pour réussir, la plus grande habitude avec laquelle vous devez rompre, n’est pas seulement de ne plus acheter de cigarette, ni d’en allumer.

Pour réussir à devenir non-fumeur, la plus grande habitude avec laquelle vous devez rompre est celle d’être vous-même.

Rompre avec l’habitude d’être la personne qui fumait.

Rompre avec la personne qui avait ses habitudes de fumeur.

C’est à cette condition que vous deviendrez libre!

Pour que je vous aide dans cette démarche, cliquez ici.

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