« J’ai peur d’arrêter. »

C’est ce que vous vous dites ?

Dans ce cas, c’est ce que vous croyez ; et ce que nous croyons à un impact colossal sur notre vie.

La plupart du temps, quand on veut arrêter, on se dit qu’on n’est pas prêt. Il y a de nombreuses raisons de ne pas être prêt :

on ne sait pas comment s’y prendre (surtout quand on a essayé 20 fois de simplement ne plus entrer dans un bureau de tabac),
on n’imagine pas ce qui nous attend une fois qu’on n’aura plus la cigarette comme support,
on ne voit pas vraiment pourquoi on arrêterait si on n’a plus rien pour nous faire du bien.

Toutes ces interrogations ? Elle cachent des peurs et il est bien plus confortable de se dire que le mieux c’est d’attendre, qu’une fois qu’on n’aura plus de doute et que les peurs se seront dissipées, on pourra alors arrêter.

Si c’est ce que vous croyez, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer.

La mauvaise, c’est que vous risquez d’attendre longtemps ! Car la peur ne disparaît pas d’elle-même.

C’est même l’inverse : plus on l’écoute, plus elle grandit !

La bonne nouvelle, c’est que si vous ne les laissez pas faire, vos peurs n’ont pas le pouvoir de vous barrer la route.

Je vous l’accorde : une fois qu’on a dit ça… on n’a rien dit !

Maintenant, il faut savoir comment ne pas se laisser manipuler par la peur, et surtout comment ne plus penser que la cigarette peut nous aider à les surmonter. Parce que si vous prenez 2 secondes pour passer de l’autre côté du miroir, vous vous rendez compte que ça fait des années que vous fumez chaque fois qu’une peur pointe le bout de son nez.

La (seconde) bonne nouvelle pour ne plus vous laisser faire, c’est qu’il n’y a pas besoin de faire 10 ans de psychothérapie ni autre technique vaudou.

Il y a des actions simples et concrètes à faire dès qu’une peur vous vient en tête.

Voir comment elle fonctionne, ce qu’elle vous permet de faire, d’éviter, est une étape pour ne plus la laisser vous paralyser, vous angoisser, vous faire sentir impuissant ou désespéré. Si vous faites ça, la cigarette ne sera plus un outil dont vous croirez à l’efficacité pour vous libérer.

Peu à peu, vous devenez conscient que tout ce qui vous a empêché de reprendre les commandes de vos automatismes. Et que vous pouvez redevenir autonome en supprimant ce qui se met entre vous, et vos décisions.

Ce qui est top quand on met le doigt sur ces mécanismes, c’est qu’on peut décider de les garder… ou non !

SI vous voulez sortir des conditionnements qui vous empêchent de prendre soin de vous, envoyez-moi un message. Je prépare une offre que je proposerai bientôt, mais pas aujourd’hui (j’ai bien peur que ce soit trop tôt😉 !).

Faites le pas !

 

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