C’est grâce aux « Torches de la Liberté » que je vous accompagne!

C’est grâce aux « Torches de la Liberté » que je sais qu’il ne suffit pas d’arrêter de fumer pour en finir avec la cigarette.

Revenons en arrière pour que je vous dise pourquoi!

New-York, le 31 mars 1929. A la Eastern Sunday Parade, les cigarettes viennent de se transformer en « Torches de la Liberté ».

Concrètement, ça veut dire que les femmes viennent de faire tomber les barrières qui les empêchent de fumer.

1929… Quelques 9 petites années après le droit de vote accordé aux femmes aux Etats-Unis.

1929… Les psychanalystes affirment que la cigarette est un symbole phallique du le pouvoir sexuel mâle.

1929… c’est aussi l’année où Lucky Strike veut doubler ses profits en faisant des femmes des fumeuses. La condition pour réussir? En finir avec l’idée alors en vigueur dans le monde entier: les femmes qui fument sont des prostituées.

Pour atteindre son objectif, Lucky Strike va s’appuyer sur le courant féministe ultra-puissant à l’époque: les suffragettes.

Les femmes veulent les mêmes droits que les hommes?

Elles vont les avoir… ou plutôt, on va le leur faire croire…

Pour faire ça, il faut féminiser la cigarette:

  • en transformant l’association cigarette-prostitution en cigarette-glamour,
  • en surfant sur la vague de la libéralisation de la femme pour que fumer soit le symbole de la liberté.

En liant la cigarette à la contestation du pouvoir masculin, les femmes accèdent à cette égalité tant désirée.

Dès lors, elles:

  • s’approprient la cigarette,
  • l’assument,
  • la revendiquent.

C’est comme ça que le 31 mars, des mannequins paradent, avec dans une main une cigarette et dans l’autre une pancarte « Torch of Liberty ».

Depuis, la femme qui fume est une femme libre, une femme qui ose et qui s’assume.

Katherine Hepburn dans les années 30.

Aujourd’hui, la pub pour la cigarette est interdite, et c’est tant mieux!

Pourtant, nous sommes nombreuses à avoir succombé à la cigarette, même si la promesse portée par son message date pourtant des années 30!

Il faut dire que cette promesse est extrêmement puissante: 

  • être libre
  • oser
  • assumer ses choix.

Elle est d’autant plus puissante que c’est bien ce que la cigarette semble offrir.

Le problème est que tout ça disparaît avec elle quand on arrête.

Fumer n’est pas seulement un geste, un shoot de nicotine ou une habitude.

Fumer nous donne une identité.

Le problème, c’est que cette identité disparaît avec l’arrêt de la cigarette.

Tout l’enjeu quand on veut se libérer du tabac est là: retrouver cette identité.

C’est ce que je vous propose ici!

Qui suis-je pour vous parler du tabac?

Je m’appelle Olivia, je suis mère de 3 enfants, mariée à un homme d’une immense patience…

Diplôme d’un DEA en Conjoncture économique et Prospective de l’Université Paris Dauphine, j’ai travaillé dans un groupe de communication, notamment pour des entreprises de cigarettiers.

Je me suis aperçue que lorsque je travaillais sur ces dossiers, je ne me sentais pas en phase avec moi-même, alors qu’à l’époque je fumais!

Après la création d’une société de taxi-moto, j’ai entamé de nombreuses recherches, suivi de nombreuses méthodes de développement personnel et de bien-être.

J’ai arrêté de fumé au 7ème mois de ma première grossesse, et je me suis reconvertie au coaching: les personnes qui venaient me voir avaient toutes fumé, sans forcément avoir envie de reprendre, ou fumaient encore, simplement parce qu’elles trouvaient que leur vie sans cigarette manquait de saveur. Qu’elles avaient perdu ce petit quelque chose qui les motivait, qui les faisait avancer.

C’est pour cette raison que je me suis intéressée de très près à la cigarette, ses enjeux, son emprise et que je me suis investie dans l’accompagnement des femmes qui voulaient prendre soin d’elles, et mettre leur énergie à profiter pleinement de leur vie.

Je m’investie auprès des femmes qui veulent se libérer de la cigarette parce qu’il est inadmissible selon moi de devoir continuer à se tuer à petit feu alors qu’on cherche seulement à se sentir bien.

Arrêter de fumer est une démarche active, et je sais que chacune de nous en est capable.

Chacune de nous a fait de se mettre en danger en comptant sur la cigarette pour se sentir libre.

Je crois sincèrement qu’il est toujours temps de faire le choix de retrouver sa féminité, et sa liberté. Il suffit de connaître les bons principes et de maîtriser bons outils.

C’est ce que je vous propose que nous fassions faire ensemble!